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Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 4)
Coukie les gens bons en croûte o/
Nous voici arrivé a l'avant dernière partie de ce bilan, ensuite on attaquera les coups de kokoro <3 Au programme cette fois-ci, du fan service a outrance, le tout avec des assassins qui se retrouvent pour boire après le boulot en mangeant des confiseries (ces résumés deviennent de plus en plus débile). Attention, risque d'overdose de fan service à prévoir.
Nanatsu no Bitoku:
Mini série qui découle de Sin : Nanatsu no Taizai (Spin off ecchi de Nanatsu no Taizai), "Nanatsu no Bitoku" est produit par le studio Bridge. C'est du fan service ecchi, non licencié en France et ce n'est clairement pas une perte.
Poster de l'animé Nanatsu no Bitoku.
"Les "7 Péchés Capitaux" ont quitté les Enfers et étendent leurs pouvoirs et leurs fléaux sur Terre. Le Paradis est en proie aux chaos et les Anges appartenant aux "7 Vertus Célestes" sont donc envoyés sur Terre afin de chercher un candidat pouvant devenir le "Vrai Messie" et donc sauver la Terre."
Série a court épisode de 5min (seul bon point de l'animé, on souffre moins longtemps), Nanatsu no Bitoku n'a rien à voir avec Sin : Nanatsu no Taizai dont il provient. Là ou ce dernier était un bon ecchi avec des personnages et une histoire plutôt travaillé pour du ecchi++ (une scène de sexe a chaque épisode). Dans Nanatsu no Bitoku on a affaire aux 7 cruches célestes, là ou les 7 péchés était classes, on a ici 7 anges sans cervelles. L'animé est littéralement un diaporama de plans cul et boobs sans aucun intérêt. Clairement si ce n'était pas des épisodes de 5min je ne me serais pas forcée à regarder jusqu'au bout (je n'aime pas juger sans avoir tout vu) Fuyez loin de cette horreur, vous aurez plus de plaisir à regarder des images NSFW piochées au hasard sur le net.
Hakata Tonkotsu Ramens:
On enchaine avec "Hakata Tonkotsu Ramens" du studio Satelight, qui est l'adaptation du Light Novel éponyme de Kisaki Chiaki. C'est un drame action sous fond d'enquêtes et d'assassinats, disponible chez nous sur crunchyroll.
Visuel de l'animé Hakata Tonkotsu Ramens.
"Fukuoka. Au premier abord, cette ville semble paisible et calme, en réalité le crime ne cesse d'augmenter ces dernières années.
Le quartier d'Hakata regorge de professionnels en tout genre : tueurs à gages, détectives, informateurs, des demandeurs de vengeance professionnels, des professionnels de la torture et bien plus encore.
D'après une légende urbaine, un exterminateur de tueurs à gages existe dans cette ville."
On oublie le fantastique et la SF, ici on revient a du plus terre a terre et ça ne fait pas de mal. Dans Hakata Tonkotsu Ramens on suit plusieurs protagonistes au travers de petits arcs de 2/3 épisodes ou chaque arc correspond a une "enquête" au cours des quels on en apprends plus sur les personnages. Du tueur a gages, au hacker en passant par les tortionnaires, on a accès ici a tout un tas de professions toutes plus corrompus les unes que les autres et c'est ce qui fait le charme de cette série. Si vous aimez les histoires de complots, enquêtes et autres, c'est la série de cet hiver à voir, je la recommande vivement en espérant voir une saison 2 arriver c:
Takunomi.:
On retourne dans le slice of life comédie avec "Takunomi." (Drinking at Home.), l'adaptation du manga d'Hino Haruto par le studio Production IMS. Pour l'instant ni l'animé, ni le manga ne sont licenciés en France.
Visuel de l'animé Takunomi.
"Michiru Amatsuki, est une jeune employée de 20 ans qui, parce qu'elle change de travail, déménage à Tokyo. A son arrivée à la capitale, elle décide de s'installer dans une maison familiale nommée "Stella House Haruno", un logement qu'elle va partager avec plusieurs colocataires. Malgré les différences qui les séparent, notamment au niveau de leurs âges et de leurs professions, Michiru et ses nouvelles amies parviennent toujours à trouver un terrain d'entente lorsqu'il s'agit de boire et de manger !"
Animé au format court de 12min par épisode, Takunomi. est un slice of life sur le thème de l'alcool. On suit quatre colocataires qui a chaque épisode trouve une occasion de boire le soir après le travail pour décompresser, avec toujours un alcool traité que ce soit une bière précise ou un alcool plus fort. Avec chaque alcool on a une petite histoire de ce dernier avec des façons de le consommer et avec quelle nourriture. La réalisation n'a rien de particulier et est dans la moyenne. L'animé n'est pas mauvais sans être exceptionnel, mais si vous êtes intéressés par les alcools consommés au Japon ça peut vous intéresser c:
Dagashi Kashi 1&2:
Faisant suite à la première saison sortie en hiver 2016, "Dagashi Kashi 2" est cette fois-ci adapté par le studio Tezuka Productions. C'est une adaptation de la comédie tranche de vie du même nom de Kotoyama ayant pour thème les confiseries japonaises, les deux saisons de l'animé sont disponibles chez ADN.
Affiche de Dagashi Kashi 2.
"Le père de Shikada Kokonotsu, est le propriétaire d'une petite confiserie et a pour plan de remettre le flambeau à son fils. Malheureusement pour lui, son fils désire devenir mangaka.
Un jour d'été, une jolie jeune fille nommée Shidare Hotaru, provenant d'une grande entreprise de sucrerie, vient rendre visite au père de Kokonotsu. D'après elle, il est vraiment populaire dans le monde des confiseries et désire que ce dernier rejoigne sa fameuse entreprise. Il n'acceptera l'offre qu'à une condition, qu'elle réussisse à convaincre son fils de reprendre la petite confiserie."
Dans le même genre que "Ramen Daisuki Koizumi-san" ou encore "Takunomi.", ici on a affaire à nouveau a une tranche de vie comédie abordant cette fois le monde de la confiserie japonaise. Dagashi Kashi traite dans chaque épisode d'un ou deux éléments touchant a tout ce qu'on peut trouver dans les confiseries japonaises, allant de jouets comme des toupies a des bonbons ou autres confiseries salées. Les deux saisons de l'animé sont assez distinctes l'une de l'autre, tout d'abord par la D.A qui change du à un changement de studio d'animation, mais aussi la durée des épisodes passant de 25min a 12min. La trame change aussi, si la première saison est centrée sur Hotaru et sa passion dévorantes des confiseries, la deuxième elle est axée sur Kokonotsu et l'intrigue du manga plus que les confiseries. Deux saisons différentes, mais qui n'en reste pas moins tout aussi bonne et gardant l'esprit de la série. Dagashi Kashi est une comédie à la fois plaisante et intéressante (en apprendre plus sur les confiseries que l'on voit souvent apparaître dans les animés). Si vous aimez les comédies et/ou que vous souhaitez en apprendre plus sur le monde de la confiserie japonaise, je vous recommande chaudement cet animé.
A.I.C.O. Incarnation:
On termine cette partie avec une oeuvre originale du studio Bones, "A.I.C.O. Incarnation" qui est un drame action de Science-fiction. C'est une création originale Netflix disponible bien entendu sur ce dernier en France.
Poster de la série originale A.I.C.O. Incarnation.
"En 2035, le Japon a connu un accident très grave nommé le "Burst". À cause des nombreuses recherches scientifiques du Japon, ils ont réussi à créer une forme de vie artificielle nommée "Matter". Cependant, cette forme de vie a envahi toute la région de Kurobe.
Les scientifiques ayant survécu à ce désastre artificiel, se sont réunis dans une ville sous ordre du gouvernement pour trouver une solution.
Deux années plus tard, Tachibana Aiko, une jeune lycéenne qui a perdu sa famille a cause de la catastrophe apprend quelque chose d'incroyable de la part de Kanzaki Yuya, un nouvel élève transféré le jour même. Un secret concernant la "Matter" est caché au plus profond de son corps. Ce secret peut soit sauver les humains ou les anéantir complètement..."
Troisième et dernière création originale Netflix de ce bilan d'hiver, A.I.C.O. Incarnation est une oeuvre de Science-Fiction. Cette série aborde plusieurs sujets propres à la SF dont principalement la création d'êtres artificiels. L'animé est plutôt bien rythmé entre phase d'action et phase plus posée avec des explications sur la situation et plusieurs révélations nous poussant a continué pour connaitre la suite, pour au final dévoré la série en quelques jours x) Côté réalisation rien à redire, on a droit ici a du triple AAA comme Bones sait très bien le faire (Kekkai Sensen, My Hero Academia,...). Étant pas une grosse consommatrice de SF, j'ai énormément apprécié cet animé que je recommande, après il est possible que les fan de SF ne ci retrouve pas (pour le coup à vous de tenter l'aventure).
Voilà ce qui conclue notre quatrième partie, cette fois-ci il y avait de tout, de bonnes surprises, des suites corrects et surement le pire animé que j'ai pu voir. J’espère que vous avez trouvé quelque chose qui a su attiser votre curiosité, on se retrouve bientôt pour l'ultime partie de ce bilan d'hiver avec mes nombreux coups de kokoro <3 (j'ai eu du mal a les départager) c:
Naru,
En train de chercher
à créer une esclave artificielle.
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