• Coukie les gens bons o/

     

    La Naru de retour pour clore une nouvelle saison c: Comme toujours, il y a un petit paquet d'animés au programme pour tous les goûts. Au programme de cette première partie, du rêve gastronomique avec au menu du sang d'idol et même une petite amie en 3D mais en 2D, le tout sous fond d'autodérision :p Allez inutile de perdre plus de temps, on commence tout de suite o/

     

     

    18 If:

     

    On attaque avec un animé qui date de l'été dernier que j'ai fini ce printemps (les projets de fansub ça prend du temps des fois), 18 if est l'adaptation de deux jeux mobile du même nom par le studio Gonzo. C'est un drame d'aventure avec un fond d'enquête.... assez particulier à décrire et bien entendu non licencié en France.

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1) 

    Visuel de l'animé 18 if.

     

    "Le Japon fait face à un phénomène inexplicable où des adolescents ayant subi un choc émotionnel tombent dans un coma profond. Haruto Tsukishiro se retrouve piégé dans les rêves de ces personnes et est ainsi embarqué dans des situations peu confortables. Toutefois, ce dernier va prendre conscience des règles régissant ces mondes et va ainsi essayer d'aider les différents adolescents à se réveiller."

     

    18 if est un animé en 13 épisodes avec un schéma plutôt particulier, pendant les 10 premiers épisodes l'on suit a chaque nouvel épisode Haruto qui est confronté au rêve d'une "sorcière" du monde onirique qu'il réveille à la fin de l'épisode. C'est au 11 éme épisode que l'intrigue se dévoile, ainsi que le mystère derrière ces "sorcières". La particularité de cet animé est qu'à chaque nouvel épisode et donc nouvelle "sorcière" et nouveau rêve, la D.A et l'ambiance change totalement, on passe d'un univers a la Alice au pays des merveilles à une atmosphère de thriller noir d'un épisode à l'autre. Changement qui nous pousse à continuer la série pour découvrir l'ambiance du nouvel épisode. Chaque rêve nous plonge dans la tête des sorcières, poussant parfois à des réflexions sur soi-même plutôt intéressantes. Côté ost, on peut souligner l'effort de changer l'ending a chaque épisode avec un nouvel interprète à chaque chansons, petit coup de coeur pour Too Late l'ending 7 interprété par Inori Minase. Pour finir, 18 if est un animé que je conseille si vous aimez les délires oniriques et les réflexions sur soi-même.

     

     

    Shokugeki no Souma: San no Sara Tootsuki ressha-hen:

     

     On continue avec Shokugeki no Souma: San no Sara Tootsuki ressha-hen (Food Wars! The Third Plate 2nd cour) qui est la seconde partie de la saison 3 de Food Wars ! C'est un drame, comédie gastronomique adapté du manga Food Wars ! de Tsukuda Yuuto et Saeki Shun par le studio J.C. Staff. L'animé est dispo chez ADN pour les deux premières saisons et Crunchyroll pour la troisième quant au manga il est édité chez Delcourt/Tonkam.

     

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1) 

    Affiche de Shokugeki no Souma: San no Sara Tootsuki ressha-hen.

     

    "Sôma Yukihira s'entraîne sans relâche pour accomplir son rêve : prendre la succession de son père à la tête de leur petit restaurant. Malheureusement ses plans sont bouleversés le jour où son père accepte à l'improviste, un poste dans un palace de New York. Sôma est alors envoyé à la prestigieuse école culinaire Tootsuki qui forme l'élite des chefs ! Bien décidé à ne pas décevoir son père, Sôma va devoir réussir le difficile test d'entrée de la belle et talentueuse Erina Nakiri plus connue sous le nom de Palais Divin !" (Je mets le synopsis de la première saison pour ceux qui ne connaissent pas Food Wars).

     

    Je ne vais pas y aller par quatre chemins, autant j'ai adoré les saisons 1 et 2 (même si ça n'arrive pas à la cheville de Gloutons et Dragons en terme de manga gastronomique), mais cette saison 3 était largement inférieur aux deux premières. La première partie était lente, mais amenait le nouvel arc et restait intéressante, mais la deuxième diffusé ce printemps était fade. La seule chose à retenir de ces 12 épisodes est celui centré sur le passé du père de Sôma, le reste était pour moi sans intérêt. Quant au final en deux parties, il n'avait aucun intérêt car sans enjeux. On attendait ce duel au sommet contre le conseil depuis la saison 2, on a le droit au premier match de ce duel qui est sans surprise (on n'allait pas faire perdre Sôma dès le premier tour) en guise de climax de cette saison 3..... super, le tout se terminant sur la frustration de devoir attendre la saison 4 pour voir ce duel qu'on nous tease depuis le début de la saison 3. Bon vous l'aurez compris, si vous n'avez pas encore commencé cette saison, attendez la quatrième pour les enchaîner et vous sentir moins frustré.

     

     

    Devils' Line:

     

    On enchaîne avec la première des quatre romances de cette saison, Devils' Line adapté du manga éponyme de Hanada Ryo par le studio Platinum Vision. C'est une romance avec un soupçon d'action et de vampire, l'animé est licencié chez ADN et le manga chez Kana.

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1) 

    Visuel de l'animé Devils' Line.

     

    "Tsukasa Taira est une jeune étudiante qui s'est fait secourir lors d'une attaque de vampires, ces démons qui se fondent dans la population humaine.

    Yûki Anzai, son sauveur, est un policier moitié humain, moitié vampire qui utilise ses pouvoirs surnaturels pour combattre les menaces liées aux vampires dans la ville de Tokyo. Ces menaces concernent principalement les vampires qui ont franchi l'interdit, celui de boire du sang humain.

    Vu que Anzai continue de protéger Tsukasa, ils vont rapidement être attirés l'un vers l'autre.

    Alors qu'ils passent de plus en plus de temps ensemble, Anzai a de plus en plus envie de boire du sang humain..."

     

    Pour commencer, les histoires d'amour a base de vampires ce n'est pas trop mon truc (sauf quant ça concerne une vampire de 700ans a l'apparence de gamine, mais c'est une autre histoire) et Devil's Line n'échappe pas à cette règle. Les personnages me sont totalement indifférents au point que j'attendais juste qu'Anzai vide Tsukasa de son sang une bonne fois pour toute (spoil, ce n'est jamais arrivé malheureusement). Quant à l'univers, rien de bien original, l'humanité découvre l'existence des vampires qui apparemment était resté plus ou moins caché depuis tout ce temps et entame une chasse aux sorcières, tout ce qu'il y a de plus original. Et on suit donc notre couple humaine/vampire qui vont tenter de s’accrocher dans ce contexte. Ce genre de romance n'est pas du tout mon truc, j'ai voulu essayer, je n'ai pas accroché, donc à vous de voir si vous aimez ce genre de contexte.

     

     

    Caligula:

     

     Cette fois-ci on a droit à l'adaptation d'un jeu vidéo avec Caligula (The Caligula Effect) par le studio Satelight. C'est un drame action sous fond de monde virtuel, l'animé est licencié chez Crunchyroll.

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1)

    Affiche de l'animé Caligula.

     

    "Une idol virtuelle, connue sous le nom μ, exécute des chansons demandées par l'utilisateur. Au fur et à mesure, elle a acquis une conscience de soi par l'exposition aux sentiments amers des utilisateurs et à l'insatisfaction face à la réalité.

    Voulant sauver l'humanité, qu'elle croit être en souffrance permanente, elle attire les gens vers un monde de réalité virtuelle appelé Mobius avec ses chansons. Elle les emprisonne alors dans Mobius, pensant qu'ils seront libérés de la souffrance de la réalité et que tous leurs vœux se réaliseront.

    Cette histoire suit les neuf membres du "Going Home Club", un club dont les membres veulent s'échapper de Mobius et rentrer chez eux."

     

    Caligula est un anime qui aborde plusieurs sujets philosophiques notamment la conception du bonheur qui est au centre de l'animé, puisque c'est la raison qui pousse l'idol a enfermé les humains dans son monde virtuel en voulant leur offrir le bonheur. Malheureusement l'animé a de nombreux défauts, tout d'abord de nombreux protagonistes (9 héros) mais traité superficiellement, ce qui fait que l'on ne s'attache a aucun d'eux et peine à retenir ne serait ce que leur nom. Ensuite, l'animé est extrêmement lent, 7 épisodes pour voir le groupe se former, puis 2 épisodes ou ils font littéralement une fondue (je ne déconne pas) et 3 épisodes pour conclure rapidement l'histoire. Du côté de l'ost rien à redire, l'animé possède d'excellentes chansons tirés du jeu qui correspondent aux diverse chansons de l'idol virtuelle μ, chanté pour "contrôler" les humains tout au long de l'animé. Bien entendu il faut aimer le style idol, j-pop. Je ne conseille pas vraiment l'animé, même si l'histoire de base est intéressante ainsi que les thématiques abordées, sa lenteur et les personnages à peine traité font que l'on a du mal a rentrer dans l'animé. Par contre, je vous conseille de jeter un oeil à l'ost, qui est sympa c:

     

     

    3D Kanojo - Real Girl:

     

    On attaque la deuxième romance de ce printemps avec 3D Kanojo - Real Girl, adaptation du shôjo de Nanami Mao par le studio Hoods Entertainment. C'est une comédie school life et la thématique otaku, malheureusement ni l'animé ni le manga ne sont licenciés en France pour l'instant.

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1) 

    Affiche de l'animé 3D Kanojo - Real Girl.

     

    "Hikari Tsutsui est un otaku tout ce qu'il y a de plus basique. Il déteste avoir affaire avec les autres et tout particulièrement avec sa classe. À cause de cela, il est moqué par ses camarades. Un jour, il doit nettoyer la piscine en compagnie d'Iroha Igarashi, une jolie fille. Elle est d'ailleurs tout ce qu'il déteste chez les vraies filles ; elle sèche les cours, n'a aucune amie du sexe féminin et bien plus encore. Pourtant, elle est gentille avec lui et l'aidera même quand il sera de nouveau embêté par des élèves. Iroha pourrait bien changer la vie monotone d'Hikari..."

     

    J'ai commencé l'animé sans en attendre grand-chose (il n'était pas à l'origine dans ma liste, juste en back up) et au final il s'est révélé plutôt sympa. Pour une fois on a droit à un héros complètement hors norme à la limite d'être un hikikomori, héros qui apprend tout au long de l'animé à comprendre et communiquer avec les autres. Le duo improbable que forme notre couple est de plus en plus attachants au fil des épisodes, même si on a envie de secouer Tsutsun de temps en temps x) De plus, les épreuves que doivent franchir nos amoureux changent des classiques shojo puisqu'elles découlent souvent de la nature otaku du héros et de la vision négative de la société à son égards. Pas un chef-d'oeuvre, mais une bonne surprise en tant que romance de type shojo, si vous êtes fan du genre je vous le recommande, de plus la saison 2 a été annoncé pour janvier 2019 c:

     

     

    Omae wa Mada Gunma wo Shiranai:

     

    On termine cette première partie avec Omae wa Mada Gunma wo Shiranai (You Don't Know Gunma Yet), court animé de 12 épisodes de 5min du studio Asahi Production. C'est une comédie slice of life adapté du manga du même nom de Ida Hiroto, l'animé est disponible sur Crunchyroll c:

    Le bilan des animés du Printemps 2018 (Partie 1) 

    Affiche de Omae wa Mada Gunma wo Shiranai.

     

    "L'histoire suit Nori Kamitsuki, habitant de la préfecture de Chiba, qui déménage dans une version fictive de la préfecture de Gunma qui se situe au nord-ouest de Tokyo.

    Avant de déménager à Gunma, Kamitsuki remarque que cette préfecture à une horrible réputation sur internet. En déménageant, il prend contact avec des personnes amoureuses de la culture de Gunma."

     

    La particularité de cet animé est qu'il a été financé  par la préfecture de Gunma dans l'objectif de présenter plus ou moins sa culture et attirer les touristes. Mais ne vous attendez pas pour autant à un animé sérieux, le mot d'ordre de l'animé est auto-dérision, ici les habitants de Gunma sont vus comme des gens hostiles et sauvages envers les personnes étrangères à Gunma. Le pire c'est que ça fonctionne, on a envie de découvrir cette région, sa culture et ses spécialités. Il faut noter que chaque fin d'épisode est conclu par un petit message d'habitants de Gunma, que ce soit le maire d'une ville, le propriétaire d'un restaurant etc., nous invitant a venir découvrir la préfecture. Je vous conseille de regarder cet animé, il est court (même pas une heure pour l'intégralité des épisodes), mais assez fun ne serait ce que par l'autodérision qui en découle. Et puis c'est toujours sympa de découvrir la culture d'une région c:

     

     

    C'est ainsi que se conclut cette première partie, du bilan de ce printemps 2018 c: En espérant que certains animés ont attisé votre curiosité, n'hésitez pas me faire des retours comme d'habitude c:

     

     

    Narou,

    Survivante de la chaleur

    Oupas x)


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  • Coukie les gens bons en croûte o/

     

    On attaque l'ultime partie de ce bilan d'hiver 2018 avec mes coups de coeurs c: Dur a départager pour certains, mais le dernier est un véritable coup de foudre <3

     

     

    Karakai Jouzu no Takagi-san:

     

    On commence avec une comédie school life par le studio Shin-Ei Animation, "Karakai Jouzu no Takagi-san" est une adaptation du manga éponyme de Yamamoto Soichiro. Seul l'animé est licencié en France pour l'instant via crunchyroll.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro)

    Visuel de l'animé Karakai Jouzu no Takagi-san.

     

    "L'histoire nous entraîne dans le quotidien de deux élèves nommés Takagi et Nishikata.

    Takagi passent ses journées à embêter le pauvre Nishikata. Pour essayer de regagner sa fierté, Nishikata va essayer, jour après jour, de mettre dans l'embarras Takagi."

     

    Karakai Jouzu no Takagi-san est une comédie school-life mignonne est attendrissante, au premier abord elle peut rappeler "Tonari no Seki-kun" ou l'on retrouve aussi un duo de voisin en classe. Mais ici pas de Seki qui fait tout sauf des choses normales en classe, à la place nous avons Takagi une jeune fille qui prend un malin plaisir a taquiner sans cesse le pauvre Nishikata qui tente inlassablement de retourner la situation. Une comédie simple et innocente mais rudement efficace, on aurait presque de la peine pour Nishikita....., mais bon voir Takagi l'embêter nous procure trop de plaisir pour ça x) A noter que l'animé possède des scènes tirées du spin-off "Ashita wa Doyoubi" mettant en scène trois collégiennes de la classe de Takagi et Nishikata (Mina, Yukari et Sanae). Il n'y a pas grand-chose de plus à dire, si ce n'est que vous pouvez foncer sans hésiter sur cet animé sans aucune modération en espérant voir le manga débarquer en France c:

     

     

    Citrus:

     

    Comme le dit un certain proverbe narouesque, "Le Yuri c'est la vie" voici donc le yuri de cet hiver "Citrus" adapté du manga éponyme de Saburouta par les studios Passione et Graphinica. Ce yuri est disponible sur crunchyroll pour l'animé et chez Taifu Comics dans la collection Taifu - Yuri pour le manga.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro)

    Affiche de l'animé Citrus.

     

    "Suite au remariage de sa mère, Yuzu apprend qu'elle va devoir changer de lycée pour aller dans un établissement réservé aux filles, lycée dans lequel se trouve également Mei, sa nouvelle demi-sœur. Si au début leur relation est relativement tendue à cause du sérieux de Mei, les choses vont bien changer entre elles quand cette dernière va montrer plus de signes d'affection envers Yuzu..."

     

    Citrus est le yuri de cette saison, mais aussi le meilleur animé du genre que j'ai pu voir. Oubliez les épisodes longs sans avancement dans la relation tel un shojo de base, Citrus se concentre sur la relation entre les deux protagonistes et leurs sentiments de façon bien plus réaliste . Yuzu va bien vite comprendre que l'amour ce n'est pas un conte de fée, mais un véritable combat semé d’embûches. Le tout servi avec une très bonne réalisation et un excellent générique signé nano.RIPE (oui je suis une vraie fan-girl de ce groupe). Vous l'aurez compris, si vous appréciez le yuri ou voulez tout simplement découvrir le genre, Citrus est fait pour vous c:

     

     

    Hakumei to Mikochi:

     

    On continue avec une série tranche de vie (ça faisait longtemps) du studio Lerche, "Hakumei to Mikochi" (Minuscule) adapté du manga de Kashiki Takuto. Le manga minuscule est licencié chez Komikku, quant à l'animé il est disponible via Wakanim.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro)

    Visuel de Hakumei to Mikochi.

     

    "Hakumei et Mikochi mesurent 9 centimètres et vivent dans la forêt. Elles habitent dans un tronc d’arbre, se déplacent à dos de scarabée et construisent des tentes avec des feuilles de mandarinier… C’est fou tout ce qu’on peut réaliser quand on n’est pas plus haut que trois pommes ! Venez partager leurs aventures à la fois simples, paisibles et attendrissantes. Ces minuscules personnages et leurs amis à fourrure vont enchanter votre quotidien !"  

     

    Minuscule est composé de une à deux histoires par épisodes, ou l'on soit le quotidien de Hakumei et Mikochi. Au travers de ces histoires on découvre un univers ou tout parait gigantesque pour nos deux héroïnes, ainsi qu'une multitude de protagonistes tous plus mignons les uns que les autres. La D.A renforce ce côté kawaii et apaisant qui ressort de cet animé, le tout servi avec une bonne animation. Vous l'aurez compris, Hakumei to Mikochi est un animé calme et reposant, mais aussi riche en aventures. Si vous appréciez la tranche de vie cet animé est pour vous, quant aux autres si vous cherchez un peu de calme entre deux animés mouvementés, n'hésitez pas.

     

     

    Violet Evergarden:

     

    On enchaîne avec "Violet Evergarden" de Kyoto Animation, qui est un drame slice of life adapté du Light Novel d'Akatsuki Kana. Seul l'animé est disponible chez nous via Netflix.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro)

    Poster de l'animé Violet Evergarden.

     

    "Après cinq années de guerre, la paix est enfin revenue et la vie reprend doucement son cours. C'est ainsi pour les militaires également mais, pour Violet, les choses sont plus difficiles. En effet, la jeune femme ne connaît que les champs de bataille et a du mal à s'adapter à sa nouvelle vie.

    Adoptée par la famille Evergarden, Violet est employée par Claudia Hodgins au sein de son entreprise postale. Son rôle : écrire des lettres pour ceux qui ne peuvent pas le faire eux-mêmes. L'ennui, c'est qu'elle peine à comprendre leurs émotions."

     

    Préparez les mouchoirs, vous en aurez besoin, Violet Evergarden est là pour jouer avec vos émotions et c'est plus que réussi. À chaque épisode notre héroïne devra aider une personne en écrivant une lettre, un schéma simple, mais maîtrisé a la perfection conduisant le spectateur à ressentir les émotions des personnages. Le tout servi avec une magnifique réalisation, de l'animation à la D.A en passant par l'ost, tout est là pour jouer avec vos émotions. Petit coup de coeur pour l'ending "Michishirube" interprété par Chihara Minori, qui est toujours présent pour asséner le coup de grâce a votre petit coeur. Un animé poétique que je recommande a tout le monde.

     

     

    Mahou Tsukai no Yome:

     

    Ayant commencé en automne avec une double saison (24 épisodes), "Mahou Tsukai no Yome" (The Ancient Magus Bride) est une adaptation du manga de Yamazaki Koré par le studio Wit Studio. C'est un drame fantastique disponible sur crunchyroll et chez Komikku pour le manga.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro) 

    Poster de Mahou Tsukai no Yome.

     

    "Chise Hatori à le pouvoir spécial de voir des choses que d'autres ne peuvent voir. Un magicien étrange, dont la tête est un crâne tout aussi bizarre, est le premier à déceler le don de Chise. Il achètera cette jeune fille à des enchères au Japon pour la modique somme de cinq millions de livres sterling. De retour ensemble en Angleterre, Chise deviendra l'apprenti du magicien et est supposée l'épouser dans le futur. Le pouvoir spécial de Chise est appelé "Slay Vega" et permet de produire et d'émettre énormément de magie. Un pouvoir rare et de valeur qu'elle va devoir apprendre à maîtriser pour survivre, car être un "Slay Vega" demande beaucoup d'énergie et peut conduire à la mort..."

     

    The Ancient Magus Bride possède un univers s'inspirant de la mythologie celtique, ici les sorciers utilisent une magie faisant appel aux esprits, fée et autres créatures des légendes celtiques. De plus, l'histoire et les personnages sont extrêmement bien travaillé, augmentant l'immersion dans cet univers féerique. Côté réalisation, on à faire ici à un AAA de ces deux dernières saisons, animations et direction artistique sublime. Une ost envoûtante permettant de nous charmer totalement. Vous l'aurez compris The Ancient Magus Bride est un conte féerique avec une excellente réalisation faisant de cet animé un immanquable de cette saison, à voir absolument pour tout fan de drame fantastique et de magie.

     

     

    Sora Yori mo Tooi Basho:

     

    Avant dernier coup de Kokoro et véritable surprise de cette saison, "Sora Yori mo Tooi Basho" ou "Yorimoi" (A Place Further Than The Universe) est une oeuvre originale du studio Madhouse. C'est une comédie aventure de type slice of life disponible chez nous sur crunchyroll.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro) 

    Affiche de Yorimoi.

     

    "Shirase Kobuchizawa, lycéenne de deuxième année, est la fille de la célèbre Takako Kobuchizawa, une exploratrice ayant disparue lors de sa dernière expédition en Antarctique.

    Persuadée que sa mère est vivante et qu'elle l'attend sur place, Shirase met tout en oeuvre pour intégrer une expédition constituée de civils, embarquant trois autres jeunes filles dans l'aventure."

     

    Sora Yori mo Tooi Basho est une série slice of life ayant pour thème l'amitié et le dépassement de soi, véritable leçon de vie riche en émotion. On suit quatre lycéennes qui vont ensemble réaliser l’expérience de leur vie. Réalisation impeccable avec une histoire bien construite et des personnages plus qu'attachants, la musique n'est pas en reste non plus avec d'excellents thèmes comme l'opening ("The Girls Are Alright!" de Saya) et l'ending ("Koko kara, Koko kara" par les Seiyu des quatre héroïnes), mais aussi "Mata ne" et "Haruka Tooku" pour les plus marquants. Animés qui m'avait intéressé par le thème du pôle sud sans en avoir une grande attente s'est révélé être une véritable surprise, je le place deuxième des animés de cet hiver. Si vous appréciez les slice of life, je recommande sans hésiter Yorimoi.

     

     

    Yuru Camp△:

     

    Le voilà, mon coup de coeur total de cet hiver "Yuru Camp△" (bon ce n'est pas comme si j'en avais parlé environ cinq fois par jour cet hiver) produit par le studio C-Station. C'est un slice of life adapté du manga éponyme d'AFRO. L'animé est disponible sur crunchyroll en France, quant au manga même si ce dernier n'est pas encore annoncé officiellement il sortirait sous le nom "Au Grand air" chez nobi-nobi pour le mois de mai (référencé sur plusieurs sites de gros revendeurs).

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Coups de Kokoro) 

    Visuel de l'animé Yuru Camp△.

     

    "L'histoire prend place dans différents campings aux environs du Mont Fuji.

    Rin Shima, adolescente de petite taille, est adepte du camping en solo. Lorsqu'elle n'a pas cours, elle aime écumer les campings autour de chez elle pour profiter du calme et de la vue.
    Un jour, elle rencontre par hasard Nadeshiko Kagamihara, qui va lui faire découvrir les joies de camper en groupe."

     

    Yuru Camp△ est un slice of life contemplatif ayant pour thème le camping, le tout avec une pointe de comédie. On suit notre duo d’héroïnes aux tempéraments totalement opposés dans leurs différentes expériences de camping. Côté réalisation on a le droit a de magnifiques paysages du Mont Fuji et ses environs (les décors sont inspirés de la réalité) qui vous donneront envie de partir au Japon. La musique n'est pas en reste et offre une ambiance reposante à la série le tout accompagné d'un magnifique opening et ending (ce dernier me sert de berceuse). Pour ce qui est des personnages, nos cinq campeuses sont toutes plus attachantes les unes que les autres avec leur caractères bien différents et vous manqueront bien vite une fois la série finie :c Au final vous l'aurez compris, je conseille a tous fans de slice of life cet animé et si vous avez adoré Flying Witch alors Yuru Camp est fait pour vous.

     

     

    Voilà qui conclut cet hiver 2018 qui aura été un excellent cru, j’espère que vous aurez aussi trouvé de quoi vous satisfaire. Pour ma part si j'avais un seul animé à choisir c'est sans hésiter Yuru Camp, rien de mieux pour vous redonner le sourire ou vous permettre de faire une bonne nuit (testé et approuvé :p). Il est temps maintenant de commencer une nouvelle saison, sera t-elle aussi bonne que cet hiver ? Difficile, mais pas impossible c:

     

     

    Naru,

    Prête à camper

    dans son placard.


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  • Coukie les gens bons en croûte o/

     

    Nous voici arrivé a l'avant dernière partie de ce bilan, ensuite on attaquera les coups de kokoro <3 Au programme cette fois-ci, du fan service a outrance, le tout avec des assassins qui se retrouvent pour boire après le boulot en mangeant des confiseries (ces résumés deviennent de plus en plus débile). Attention, risque d'overdose de fan service à prévoir.

     

     

    Nanatsu no Bitoku:

     

    Mini série qui découle de Sin : Nanatsu no Taizai (Spin off ecchi de Nanatsu no Taizai), "Nanatsu no Bitoku" est produit par le studio Bridge. C'est du fan service ecchi, non licencié en France et ce n'est clairement pas une perte.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 3)

    Poster de l'animé Nanatsu no Bitoku.

     

    "Les "7 Péchés Capitaux" ont quitté les Enfers et étendent leurs pouvoirs et leurs fléaux sur Terre. Le Paradis est en proie aux chaos et les Anges appartenant aux "7 Vertus Célestes" sont donc envoyés sur Terre afin de chercher un candidat pouvant devenir le "Vrai Messie" et donc sauver la Terre."

     

    Série a court épisode de 5min (seul bon point de l'animé, on souffre moins longtemps), Nanatsu no Bitoku n'a rien à voir avec Sin : Nanatsu no Taizai dont il provient. Là ou ce dernier était un bon ecchi avec des personnages et une histoire plutôt travaillé pour du ecchi++ (une scène de sexe a chaque épisode). Dans Nanatsu no Bitoku on a affaire aux 7 cruches célestes, là ou les 7 péchés était classes, on a ici 7 anges sans cervelles. L'animé est littéralement un diaporama de plans cul et boobs sans aucun intérêt. Clairement si ce n'était pas des épisodes de 5min je ne me serais pas forcée à regarder jusqu'au bout (je n'aime pas juger sans avoir tout vu) Fuyez loin de cette horreur, vous aurez plus de plaisir à regarder des images NSFW piochées au hasard sur le net.

     

     

    Hakata Tonkotsu Ramens:

     

    On enchaine avec "Hakata Tonkotsu Ramens" du studio Satelight, qui est l'adaptation du Light Novel éponyme de Kisaki Chiaki. C'est un drame action sous fond d'enquêtes et d'assassinats, disponible chez nous sur crunchyroll.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 4) 

    Visuel de l'animé Hakata Tonkotsu Ramens.

     

    "Fukuoka. Au premier abord, cette ville semble paisible et calme, en réalité le crime ne cesse d'augmenter ces dernières années.

    Le quartier d'Hakata regorge de professionnels en tout genre : tueurs à gages, détectives, informateurs, des demandeurs de vengeance professionnels, des professionnels de la torture et bien plus encore.

    D'après une légende urbaine, un exterminateur de tueurs à gages existe dans cette ville."

     

    On oublie le fantastique et la SF, ici on revient a du plus terre a terre et ça ne fait pas de mal. Dans Hakata Tonkotsu Ramens on suit plusieurs protagonistes au travers de petits arcs de 2/3 épisodes ou chaque arc correspond a une "enquête" au cours des quels on en apprends plus sur les personnages. Du tueur a gages, au hacker en passant par les tortionnaires, on a accès ici a tout un tas de professions toutes plus corrompus les unes que les autres et c'est ce qui fait le charme de cette série. Si vous aimez les histoires de complots, enquêtes et autres, c'est la série de cet hiver à voir, je la recommande vivement en espérant voir une saison 2 arriver c:

     

     

    Takunomi.:

     

    On retourne dans le slice of life comédie avec "Takunomi." (Drinking at Home.), l'adaptation du manga d'Hino Haruto par le studio Production IMS. Pour l'instant ni l'animé, ni le manga ne sont licenciés en France.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 4)

    Visuel de l'animé Takunomi.

     

    "Michiru Amatsuki, est une jeune employée de 20 ans qui, parce qu'elle change de travail, déménage à Tokyo. A son arrivée à la capitale, elle décide de s'installer dans une maison familiale nommée "Stella House Haruno", un logement qu'elle va partager avec plusieurs colocataires. Malgré les différences qui les séparent, notamment au niveau de leurs âges et de leurs professions, Michiru et ses nouvelles amies parviennent toujours à trouver un terrain d'entente lorsqu'il s'agit de boire et de manger !"

     

    Animé au format court de 12min par épisode, Takunomi. est un slice of life sur le thème de l'alcool. On suit quatre colocataires qui a chaque épisode trouve une occasion de boire le soir après le travail pour décompresser, avec toujours un alcool traité que ce soit une bière précise ou un alcool plus fort. Avec chaque alcool on a une petite histoire de ce dernier avec des façons de le consommer et avec quelle nourriture. La réalisation n'a rien de particulier et est dans la moyenne. L'animé n'est pas mauvais sans être exceptionnel, mais si vous êtes intéressés par les alcools consommés au Japon ça peut vous intéresser c:

     

     

    Dagashi Kashi 1&2:

     

    Faisant suite à la première saison sortie en hiver 2016, "Dagashi Kashi 2" est cette fois-ci adapté par le studio Tezuka Productions. C'est une adaptation de la comédie tranche de vie du même nom de Kotoyama ayant pour thème les confiseries japonaises, les deux saisons de l'animé sont disponibles chez ADN. 

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 4) 

    Affiche de Dagashi Kashi 2.

     

    "Le père de Shikada Kokonotsu, est le propriétaire d'une petite confiserie et a pour plan de remettre le flambeau à son fils. Malheureusement pour lui, son fils désire devenir mangaka.

    Un jour d'été, une jolie jeune fille nommée Shidare Hotaru, provenant d'une grande entreprise de sucrerie, vient rendre visite au père de Kokonotsu. D'après elle, il est vraiment populaire dans le monde des confiseries et désire que ce dernier rejoigne sa fameuse entreprise. Il n'acceptera l'offre qu'à une condition, qu'elle réussisse à convaincre son fils de reprendre la petite confiserie."

     

    Dans le même genre que "Ramen Daisuki Koizumi-san" ou encore "Takunomi.", ici on a affaire à nouveau a une tranche de vie comédie abordant cette fois le monde de la confiserie japonaise. Dagashi Kashi traite dans chaque épisode d'un ou deux éléments touchant a tout ce qu'on peut trouver dans les confiseries japonaises, allant de jouets comme des toupies a des bonbons ou autres confiseries salées. Les deux saisons de l'animé sont assez distinctes l'une de l'autre, tout d'abord par la D.A qui change du à un changement de studio d'animation, mais aussi la durée des épisodes passant de 25min a 12min. La trame change aussi, si la première saison est centrée sur Hotaru et sa passion dévorantes des confiseries, la deuxième elle est axée sur Kokonotsu et l'intrigue du manga plus que les confiseries. Deux saisons différentes, mais qui n'en reste pas moins tout aussi bonne et gardant l'esprit de la série. Dagashi Kashi est une comédie à la fois plaisante et intéressante (en apprendre plus sur les confiseries que l'on voit souvent apparaître dans les animés). Si vous aimez les comédies et/ou que vous souhaitez en apprendre plus sur le monde de la confiserie japonaise, je vous recommande chaudement cet animé.

     

     

    A.I.C.O. Incarnation:

     

    On termine cette partie avec une oeuvre originale du studio Bones, "A.I.C.O. Incarnation" qui est un drame action de Science-fiction. C'est une création originale Netflix disponible bien entendu sur ce dernier en France.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 4) 

    Poster de la série originale A.I.C.O. Incarnation.

     

    "En 2035, le Japon a connu un accident très grave nommé le "Burst". À cause des nombreuses recherches scientifiques du Japon, ils ont réussi à créer une forme de vie artificielle nommée "Matter". Cependant, cette forme de vie a envahi toute la région de Kurobe.

    Les scientifiques ayant survécu à ce désastre artificiel, se sont réunis dans une ville sous ordre du gouvernement pour trouver une solution.

    Deux années plus tard, Tachibana Aiko, une jeune lycéenne qui a perdu sa famille a cause de la catastrophe apprend quelque chose d'incroyable de la part de Kanzaki Yuya, un nouvel élève transféré le jour même. Un secret concernant la "Matter" est caché au plus profond de son corps. Ce secret peut soit sauver les humains ou les anéantir complètement..."

     

    Troisième et dernière création originale Netflix de ce bilan d'hiver, A.I.C.O. Incarnation est une oeuvre de Science-Fiction. Cette série aborde plusieurs sujets propres à la SF dont principalement la création d'êtres artificiels. L'animé est plutôt bien rythmé entre phase d'action et phase plus posée avec des explications sur la situation et plusieurs révélations nous poussant a continué pour connaitre la suite, pour au final dévoré la série en quelques jours x) Côté réalisation rien à redire, on a droit ici a du triple AAA comme Bones sait très bien le faire (Kekkai Sensen, My Hero Academia,...). Étant pas une grosse consommatrice de SF, j'ai énormément apprécié cet animé que je recommande, après il est possible que les fan de SF ne ci retrouve pas (pour le coup à vous de tenter l'aventure).

     

     

    Voilà ce qui conclue notre quatrième partie, cette fois-ci il y avait de tout, de bonnes surprises, des suites corrects et surement le pire animé que j'ai pu voir. J’espère que vous avez trouvé quelque chose qui a su attiser votre curiosité, on se retrouve bientôt pour l'ultime partie de ce bilan d'hiver avec mes nombreux coups de kokoro <3 (j'ai eu du mal a les départager) c:

     

     

    Naru,

    En train de chercher

    à créer une esclave artificielle.


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  • Coukie les gens bons en croûte o/

     

    Aujourd'hui on s'attaque à une troisième fournée d'animés, au programme cette fois-ci du shôgi avec des furry assoiffés de sang, le tout dans un monde immobile au son des Noot-noot.

     

     

    Ryuuou no Oshigoto!:

     

    On commence tout de suite avec une comédie tranche de vie sur le thème du shôgi, "Ryuuou no Oshigoto!" (Ryuo's Work is Never Done) produite par le studio Project No.9. C'est l'adaptation du Light Novel éponyme de Shiratori Shirow qui s'est vu aussi adapté en manga, seul l'animé est disponible en France chez ADN.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 3) 

    Affiche de l'animé Ryuuou no Oshigoto!

     

    "Malgré ses 16 ans, Yaichi Kuzuryu est un joueur de shôgi, mais aussi le champion le plus jeune de l'histoire du Japon ! Un jour, une jeune fille de 9 ans nommée Ai Hinazuru débarque chez lui et lui demande d'être sa disciple. Ce dernier accepte, mais pour pouvoir suivre son entrainement elle va devoir venir vivre sous le même toit que Yaichi !"

     

    Ryuuou no Oshigoto! n'a pas vocation à apprendre le shôgi, c'est une comédie avant tout et une connaissance du shôgi n'est pas nécessaire pour apprécier l'animé. Étant une parfaite novice en la matière, j'ai tout de même pris beaucoup de plaisir pendant les différentes parties de shôgi au cours de l'animé. Les personnages sont sympa (les deux Ai sont mignonnes c:) et l'ambiance générale nous pousse à continuer. Je conseille cet animé si vous appréciez le genre et souhaiter découvrir le shôgi sans chercher à apprendre a y jouer,  ou en tant qu'introduction à ce dernier.

     

     

    Killing Bites:

     

    On continue avec "Killing Bites", un drame action avec une touche d'ecchi du studio LIDEN FILMS. C'est une adaptation du manga de Murata Shinya et Sumita Kazuasa, l'animé est disponible sur Amazon Prime Video.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 3)

    Affiche pour Killing Bites.

     

    "Les hommes ont créé des êtres hybrides mi-hommes mi-animaux. Suite à cela, de puissantes entreprises se sont mises à parier sur des combats clandestins opposant ces êtres.

    Un jour, des connaissances de Nomoto Yuuya lui ont demandé de faire une petite sortie pour draguer des filles. Ce dernier accepte, cependant, il se rend compte qu'il s'agit d'un complot pour enlever Hitomi, un être hybride mi-homme mi-animal. Mécontente, cette dernière tue toutes les connaissances de Yuuya, excepté lui.

    A partir de maintenant, Hitomi est chargée de protéger Yuuya en restant tous les jours avec lui."

     

    Des combats d'être humain génétiquement modifié avec des animaux, le tout avec du sang et du fan service, voilà une définition simple de Killing Bites. Côté violence on a quelques membres coupé (dont un pénis de serpent) et du sang qui gicle pas mal le tout sans tomber dans le gore ce qui est plutôt cool. Pour la réalisation on a pas à se plaindre, elle est plutôt bonne. Ensuite, attendez vous a du fan service, si les hommes sont complètement transformés en forme hybride, les femmes elle garde leurs formes en version humaine x) Ce n'est clairement pas l'animé de l'année, mais si vous cherchez de quoi vous divertir avec des combats sympa et un peu de violence il remplit bien son boulot, le tout accompagné de quelques rebondissements. Cet animé m'a plu et je ne serais pas contre une saison 2.

     

     

    Kokkoku:

     

    On enchaîne avec "Kokkoku" (Moment by Moment), première série animée de Geno Studio, est l'adaptation du manga éponyme de Horio Seita. Ce drame action de science fiction est disponible chez nous via Amazon Prime Video et chez Glénat pour le manga.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 3) 

    Poster de l'animé Kokkoku.

     

    "Dans le but de sauver son frère et son neveu, qui ont été kidnappés par un mystérieux groupe religieux connu sous le nom de Genuine Love Society, Yukawa Juri et sa famille lancent un sort en utilisant une pierre cachée par son grand-père pour entrer dans le monde où le temps est arrêté : Stasis.

    Toutefois, alors qu'ils infiltrent la base des kidnappeurs, ils rencontrent d'autres personnes qui peuvent bouger librement dans ce monde parallèle.

    Avec des créatures grotesques qui rôdent, pourront-ils s'échapper de ce monde parallèle et retourner à leur vie normale ?"

     

    Pour une première série le studio Geno nous sert ici de l'excellent travail, l'animation est excellente tout comme le reste de la réalisation. L'histoire est originale même si elle a un peu de mal à démarrer je trouve et l'on a du mal à voir où ils veulent en venir lors des premiers épisodes (personnellement j'ai eu du mal à rentrer dedans). Côté personnages Juri l’héroïne est plutôt intéressante, après certains personnages sont plutôt exaspérant comme le père ou le frère de Juri. Bon ce n'est pas un de mes animés préférés de cet hiver dû au fait que j'ai eu beaucoup de mal à me m'être dedans, mais si vous êtes fan de SF je le recommande.

     

     

    Pingu in the City:

     

    Petit animé comique en full CGI, "Pingu in the City" est une nouvelle version du dessin animé "Pingu" des années 90 par le studio d'animation japonaise POLYGON PICTURES. Ce dernier n'est pas disponible en France, mais bon pas besoin de traduction pour Pingu x)

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 3)

    Visuel de Pingu in the City.

     

    "Dans cette nouvelle version, la famille Pingu déménage de sa petite campagne glacée vers une grande ville, où les habitants sont tous très différents. Ils tentent de trouver un travail et de s'adapter à leur nouvelle vie, mais leurs petites habitudes reprennent le dessus…"

     

    Noot-Noot, bon on ne va pas se mentir, c'est juste par pure nostalgie de mon enfance que j'ai regardé Pingu in the City. C'est la même chose que la série originale, on suit Pingu qui a chaque épisode fait des conneries, à vouloir toucher a tout avec son caractère de merde. C'est une série pour les enfants, faut clairement pas en attendre grand-chose, si vous avez envie d'un peu de nostalgie regardez un ou deux épisodes, mais ça ne vaut pas le coup de s'y attarder.

     

     

    Et voilà qui conclue cette 3éme partie de notre bilan d'hiver, avec encore une fois pas mal de diversité en espérant qu'un animé vous ai fait de l’œil. Sur ce on se retrouve pour la partie 4 d'ici quelques jours c:

     

     

    Naru,

    perdue dans les limbes

    de la couette de l'oubli.


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  • Ohayo o/

     

    On se retrouve pour une nouvelle partie avec au programme un démarrage plutôt lent pour une nouvelle vie, le tout avec un duo bien vulgaire qui emmerde le monde teinté de filles monstres et de yokais :p C'est incompréhensible, mais ça résume bien cette partie c:

     

    Slow Start:

     

     On démarre lentement avec "Slow Start" qui est une comédie school life produite par le studio A-1 Pictures. C'est l'adaptation du yonkoma (manga a quatre cases) du même nom de Tokumi Yuiko, actuellement seul l'animé est disponible en France sur Wakanim.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2)

    Visuel de l'animé Slow Start.

     

    "En tombant malade le jour de l'examen d'entrée au lycée, Hana Ichinose, 16 ans, est obligée de refaire l'année. Elle se retrouve dans une classe où personne ne connaît encore l'existence de son secret…"

     

    Slow start est une comédie school life plutôt classique, mais se démarque des autres par ses personnages attendrissant et plutôt bien travailler qui nous pousse à vouloir voir la suite, mais aussi des situations parfois très drôles et qui ne se reposent pas sur les classiques du genre. Côté animation Slow Start se place au-dessus des standards pour le genre de la comédie school life et est impeccable, la musique quant à elle convient très bien. Il y a aussi un excellent travaille du point de vue de la réalisation et j'ai été surprise d'apprendre que c'était adapté d'un yonkoma tant les scènes s’enchaînent comme un animé classique et non par petites scènes comme ça peut être dans Nichijou ou Lucky Star. Au final c'est un animé que j'ai beaucoup apprécié et que je recommande au fan du genre.

     

     

    ReLIFE et ReLIFE : Kanketsu-hen:

     

    ReLIFE : Kanketsu-hen est une série de quatre OAVs sortie cet hiver et servant de conclusion pour l'animé ReLIFE sortie en été 2016, je vais donc ici parler de ReLIFE dans sa globalité (série et OAVs) puisqu'il faut avoir vu la série pour comprendre les OAVs. Ils sont tous les deux produits par le studio TMS Entertainment et adapté du seinen éponyme de Yayoiso, c'est une romance school life sous fond de comédie et le tout avec une vision très adulte. La série et les OAVs sont disponibles chez nous sur Crunchyroll, le manga quant à lui est publié chez Ki-oon.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2) 

    Affiche de l'animé ReLIFE.

     

    "Arata Kaizaki a 27 ans et est sans emploi. En effet, il rate tous ses entretiens et n'a tenu que trois mois dans sa dernière entreprise. Un jour, il fait la rencontre Ryo Yoake, membre de l'institut ReLife Research et propose à Arata d'être cobaye pour leur dernier projet ; un médicament qui lui permettra d'avoir l'apparence d'un lycéen de 17 ans et de pouvoir retourner au lycée.

    Grâce à ce médicament, il va pouvoir rattraper ses précédents échecs dans la vie et donc avoir une seconde chance."

     

    ReLIFE est une romance school life qui se centre sur les relations sociales entre les personnages, le tout avec des réflexions plus adulte que d'habitude dans ce genre. Le héros étant plus âgé de 10ans que ses camarades, a une mentalité et une vision totalement différente de ces derniers ce qui amène à des situations parfois bizarres. De plus, les OAVs concluent parfaitement la série qui nous laissait sur notre faim. Le plus gros intérêt de ReLIFE se situe clairement au niveau des interactions sociales et ces dernières sont très réussies. Je ne peux que conseiller la série au fan du genre c:

     

     

    Pop Team Epic:

     

    Le petit OVNI de cette saison, "Pop Team Epic" adapté du yonkoma de Okawa Bkub par le studio Kamikaze Douga. C'est un gag manga à l'univers totalement décalé disponible sur crunchyroll, le manga lui n'est pas disponible en France.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2) 

    Affiche de l'animé Pop Team Epic.

     

    "Popuko est âgée de 14 ans et est très petite. Son amie Pipimi, du même âge, est très grande. Collégiennes et mignonnes, rien ne laisserait penser qu'elles sont hors du commun. Vulgaires dans leurs mots et leurs gestes, Popuko et Pipimi passent leur temps à embêter le monde ou tout simplement à s'embêter entre elles."

     

    Amateur de troll, parodie et humour vulgaire, Pop Team Epic est fait pour vous. Popuko et Pipimi n'ont aucun respect c'est d'ailleurs surement l'un des seuls mangas japonais où vous verrez des doigts d'honneur (et je ne rigole pas) et ne pensez pas être a l'abri, car vous n'êtes pas japonais les français prennent chers aussi. Même la réalisation est WTF, car ici il n'y a pas moins de 62 seiyus pour Popuko et Pipimi au cours des 12 épisodes de l'animé. La structure des épisodes est plutôt singulière, un épisode se compose de différentes petites scènes à la DA différente de l'une à l'autre (passant de dessins proches d'oeuvre de maternelles à des dessins ultra réaliste d'une scène à l'autre). Le tout en double, car oui un épisode se compose d'un épisode de 12min qui est répété deux fois avec quelques changements, tel que les seiyus qui passent de voix féminines à des voix masculines pour Popuko et Pipimi (le tout avec des seiyus différents a chaque épisode hormis quelques séquences qui ont des seiyus identiques pour chaque épisodes). Il y a aussi quelques variations dans les dialogues et les chutes de certaines scènes. Vous l'aurez compris la réalisation est aussi chaotique que l'animé lui même, ce qui en fait un animé parodique et humoristique incontournable et un véritable OVNI de cette saison.

     

     

    Miira no Kaikata: 

     

    On enchaîne avec une petite comédie slice of life sous fond de yokai, "Miira no Kaikata" (How to keep a mummy), produite par le studio 8 Bit. C'est l'adaptation animée du manga de Utsugi Kakeru, seul l'animé est disponible sur crunchyroll chez nous.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2) 

    Affiche de l'animé Miira no Kaikata.

     

    "Sora Kashiwagi est un jeune lycéen dont le père, "aventurier" auto-proclamé, est parti faire le tour du monde. Un beau jour, il reçoit un gigantesque colis de sa part et s'il s'attend à recevoir quelque chose d'énorme, lorsqu'il l'ouvre, il y trouve une toute petite momie qui tient dans la paume de sa main… Sora, jusqu'ici bien seul, a désormais un nouvel ami pour l'accompagner au quotidien !"

     

    Miira no Kaikata n'a rien d'extraordinaire, c'est une comédie tranche de vie sur le thème de l'amitié tout ce qui a de plus classique avec des yokais. Qu'on soit bien clair cette série n'est ni mauvaise, ni inoubliable et du côté de la réalisation elle est dans la moyenne. Musique et direction artistique plaisante sans être fantastique, l'animation est correcte quant au personnage ils font le travail (Isao le petit dragon et Mi la momie sont kawaii). Vous l'aurez compris cet animé est ce qui se fait dans la norme, si vous êtes fan du genre tranche de vie comédie allez-y, les autres vous avez surement de meilleur animé du genre à voir avant.

     

     

    Kaijuu Girls ~Ultra Kaijuu Gijinka Keikaku~ 1&2:

     

    On termine avec la saison 1&2 d'une oeuvre originale du Studio PuYUKAI sortie initialement en automne 2016 pour la saison 1, "Kaijuu Girls ~Ultra Kaijuu Gijinka Keikaku~" (Kaiju Girls : Projet d'anthropomorphisation des filles monstres)  qui est comédie action au format court de 5mins par épisode. Les deux saisons sont disponibles sur crunchyroll.

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2) 

    Poster de Kaijuu Girls saison 2.

     

    "Après des années de lutte contre les kaijûs, l'Humanité peut enfin profiter d'une paix durement acquise. Toutefois, leurs anciens ennemis n'ont pas tout à fait disparus, puisque depuis lors, de jeunes filles naissent avec l'âme des kaijûs. Elles sont connues sous le nom de "Kaijû Grils"."

     

    Bon je pense que vous l'avez compris, Kaijuu Girls est une série originale créée très certainement pour être entre deux animés. Il faut clairement rien en attendre, un peu de comédie avec des combats sur le thème de filles monstre à l'aspect chibi. Et la réalisation n'a rien de fou, le minimum syndical. Franchement si vous n'avez rien d'autre à faire à la limite un épisode ou deux aux toilettes et hop, sinon passez votre chemin, cette série n'a pas besoin qu'on s'attarde dessus.

     

     

    Voici la fin de cette deuxième partie, j’espère que vous aurez vus quelque chose qui vous intéresse parmi ces animés. Hésitez pas à faire des retours, sur ce je laisse le mot de la fin a deux personnes plus polies :p

    Le bilan des animés d'hiver 2018 (Partie 2)

     

     

     

    Narou,

    enfouie quelque part

    sous une tonne de couette.


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